08 janvier 2007

Breves

Bonjour les Gens.
Je pensais avoir le temps pour vous ecrire ce fameux billet-scoop, et puis finalement je ne l’ai pas, ca attendra donc demain.
La correction de ce fabuleux test sur les phobies qui a enthousiasme tous les lecteurs attendra aussi.
En fait, j’ai tout juste le temps de vous dire que je vais peut-etre avoir une expece de “promo” pour la fin de mon dernier mois de stage a la Lukas. Le department d’audit interne semble en effet desireux que je leur file un coup de main. Mon CV vient de leur etre donne, j’attends le resultat…
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Les deux mecs de la derniere fois sont revenus ce matin pour ma machine a laver, apres m’avoir laissee en plan pendant les deux dernieres semaines.
Bon, encore une fois, ils m’ont reveillee. Sauf que cette fois, je n’avais pas les cheveux dresses comme une Tour Eiffel rebelle. Mais par contre, j’avais le cul a l’air. Bon, ben oui, je dormais avec comme pyjama un grand polo, et puis bon… Enfin vous savez quoi… des qu’on bouge, c’est soit le devant soit le derriere qui se decouvre. Bref. Ils se sont bien marres. Je n’ai pas eu tellement honte que ca (pas assez reveillee pour ca).
Et il semblerait que ma machine ait rescucite. Enfin, je vais lancer une lessive ce soir avant de prononcer tout pronostic… De toute facon, j’ai leur numero, et après le numero de strip de ce matin, chuis sure qu’ils ne se feront pas prier pour revenir me reveiller…

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J’ai honte.
Vendredi, j’enfile mon pantalon de tailleur noir, le dernier qui soit propre (rapport a la penurie de fringues propres consequente a la greve illimitee de cette saloperie de machine a laver du diable). Avec ma delicatesse habituelle, je casse le fil qui maintenait le delicat ourlet. En meme temps, cet ourlet, c’etait du boulot de portugais, franchement, Kookai, c’est plus ce que c’etait. Bref.
Il flottait des trombones dehors, donc pas question de me ballader avec un pantalon qui traine par terre, je me voyais mal arriver au boulot avec un bruit genre “floc floc” a chacun de mes pas.
Je cogitais severe sur la meilleure maniere de resoudre ce probleme quand mon regard est tombe sur lui. LUI. LA solution potentielle et incongrue.
J’essaie, j’essaie pas ????
Oh et puis merde, pas le temps de refaire un vrai ourlet, pas de possibilite de changer de futal, alors a la guerre comme a la guerre !
Et ni une ni deux, je m’empare du rouleau, et commets l’irreparable.
Bon, en meme temps, la fin justifie les moyens. Et force est de constater que, malgre la pluie, eh ben il a tenu toute la journee, mon ourlet fait au Scotch ! [Maman, si tu lis ces lignes, je t’en prie, ne crie pas…]

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Ben si elle a crié !!! (etun peu éclaté de rire aussi ...)

Anonyme a dit…

...D'abord, j'ai même pas crié : je me suis simplement exclamée !.. Tout est dans la nuance... La bonne nouvelle, c'est que ta machine à laver est réparée. Libérée de l'usante contrainte de faire ta lessive à la main , tu vas donc avoir plein de temps libre... pour refaire l'ourlet de ton pantalon !
Je t'aime !

Vincent a dit…

T'avais même pas une épingle ou un trombone ???? Moi qui croyais qu'il y avait de tout dans le sac d'une fille, je suis déçu...