29 juin 2007

Ce n'est qu'un au-revoir...

Les enfants, aujourd’hui à 17h30 je serai libre, après 9 mois et demi de stage coupés par une seule petite semaine de vacances...
Au programme : une semaine de libre pour rédiger mon rapport, commencer à empaqueter tout mon bordel, me ballader « en touriste » dans la ville, dormir...
Puis une semaine en famille, sur les bords de la Vistule.
Je serai donc occupée et loin de tout accès Internet, et il y a peu de chances que je poste quoi que ce soit d’ici 2 semaines, donc.
Allez, pleurez pas, soyez courageux !
Et pour vous faire tenir, une ptite video d’un produit au nom sans ambiguite, même pour ceux ne parlant pas polonais. Perso, il m’a fallu 1 mois pour me remettre de ce visionnage...
A bientôt en France, les loulous !

28 juin 2007

Il est temps que ça se finisse...

Saignements de nez depuis 2 jours... Eczéma sur les mains et les pieds....Certitude d'avoir blessé au moins une de mes amies par mon attitude plus que distante...
Demain, tout sera fini.
Je n'aurai plus qu'à tirer les enseignements de cette expérience très très intense.
En espérant que je me sentirai moins morveuse qu'actuellement...

26 juin 2007

Post CULturel

Ouais, parce que ya pas que l'argent dans la vie, ya l'esprit aussi !
Donc. Je sais pas si vous connaissez Manu Larcenet. Si oui, et qu'en plus vous aimez, alors c'est cool, et vous apprécierez ce site.
Si oui, et que vous n'aimez pas, ben tant pis, passez votre chemin.
Si vous connaissez pas, allez sur son site qui est linké sur la colonne de droite. Et si ce que vous lisez vous plait, eh ben allez rejoindre vos ptits collègues la-bas.
C'est potache, graveleux, pas prise de tête, bref, CA FAIT DU BIEN didju !


25 juin 2007

Cherchez pas la logique, yen a pas

J’en apprends tous les jours sur moi, la dernière preuve en date : samedi soir. Soirée entre collègues de bureau-gonzesses pas piquées des vers, dont j’ai retiré les enseignements suivants :

- je peux boire beaucoup plus de bière que je ne le pensais, et sans avoir mal au bide ni être bourrée. Le score de la soirée s’est élevé pour moi à 2,5 litres de Żywiec et 1 long drink, le tout en 4h.
- j’ai fumé 2 cigarettes pendant ces 4h, preuve que je ne suis pas si accro que ca.

Donc je suis rentrée à la maison bien joyeuse, pour retrouver un chéri finalement en plus mauvais état que moi... le pauvre chou a trop mangé, et a voulu faire le malin à finir sa soirée par une petite vodka par dessus la bière deja ingurgitée. C’etait oublier que c’est MOI qui porte les couilles et qui suis capable de boire cette délicieuse petite eau.
Assez rigolo en fait au final, de le voir si penaud reconnaitre que l’alcool, à part la biere, c’est pas pour lui !Bref, après petit calin (moui j’avais pas envie de dormir, et j’espérais secrètement que... enfin voila quoi...) il s’est endormi comme une souche, me laissant desoeuvrée à me tourner et retourner dans le pieu.

Ca d’ailleurs, c’est un truc que je comprends pas et qui m’agace au plus haut point : il arrive a s’endormir en 5 secondes quand il est vraiment fatigué, genre on parle on parle, à un moment je lui pose une question et pouf, pas de réponse de sa part. Je hausse le ton, le chatouille gentiment... pour finalement constater que le bougre s’est endormi en sursaut. Sachant qu’il se réveille tout autant en sursaut, et ce même quand le fourbe n’a pas mis son reveil. Bon OK, il accepte quand même le péage-calinmatinal de rigueur, puis se lève pour aller nous preparer le café. Donc ça n’a pas que des inconvénients.

Mais c’est tellement opposé à mon mode de fonctionnnement à moi ! J’ai du mal à m’endormir, je suis de la nuit, une vraie chauve souris. J’ai un sommeil de merde, fragile, agité avec cauchemards, réveils fréquents pour un rien etc. Et un réveil matinal tout aussi pénible, en gros je déteste me réveiller, et pour quiconque partage mon réveil, il y a des règles simples et OBLIGATOIRES à respecter si vous voulez ne pas pourrir ma journée et la vôtre :

1) ne pas me parler avant que MOI je n’aie décidé de vous adresser la parole (avant ça, vous risqueriez de dire un truc, même sans le vouloir, qui va me contrarier pour le reste de la journée)

2) j’accepte les calins et papouilles matinales, mais faut y aller DOUCEMENT et PROGRESSIVEMENT, genre si vous sentez que ça me casse les couilles, stoppez net la manoeuvre

3) de manière générale, ne rien faire que je ne puissse mal prendre (genre : allumer la radio, car ca risquerait de tomber sur une station que je déteste), et ne rien faire avant que je ne l’aie moi-meme suggéré explicitement. Et attendre que je me sois douchée, voire même pour plus de précautions, que j’aie bu mon café.

Ce qui est le plus bizarre, c’est qu’il ait fallu attendre maintenant pour que je me rende compte de cette différence de caractères.
En fait, globalement, j’ai l’impression d’avoir découvert véritablement ma Grenouille depuis qu’il a arrêté ce travail a la con. Et c’est la que je prends la mesure de l’impact que peut avoir le travail dans le comportement et la vie privée de chacun. Je le perçois quand je vois la différence entre Grenouille qui travaille à la Grenouille, et Grenouille maintenant = en vacances. Et je le vois à moi-même aussi (mais je developperai ça plus tard).
Autant un bon travail peut être source d’épanouissement, surtout quand il a la qualité en plus de celle de vous plaire, de ne pas vous accaparer trop de temps.
Autant un mauvais travail – pas valorisant ni intéressant, mal payé, tres chronophage- peut vraiment faire de vous une autre personne. Plus fatiguée donc irritable, énervée et énervante, pas patiente, frustrée, peu compréhensive, jalouse etc.

Là, j’ai depuis 2 semaines le plaisir de découvrir la „vraie” Grenouille.
Pour la première fois depuis que l’on se fréquente, il a passé plus de 6h d’affilée avec moi. Donc on a pu faire plein de choses, certes pas extraordinaires, mais que l’on avait jamais eu le temps de faire. Le moindre petit truc prend alors une valeur immense...
Par exemple, nous n’étions jamais « sortis » ensemble, au sens littéral du terme, c’est-à-dire que l’on était jamais allés ensemble dans un endroit autre que mon appartement. Et donc j’ai découvert le petit plaisir de prendre le tram avec lui, en m’asseyant sur ses genoux comme semblent le faire tous les couples ici (à tel point que je me demande s’il n’y a pas un tarif spécial couple, moitié prix puisque 2 personnes sur un même siège). Ca m’a fait bizarre d’être dans la peau de ces gens que j’ai envié, de réaliser que s’afficher en dehors revenait à une officialisation de notre statut de couple, après plus ou moins 6 mois ensemble
Plaisir de le présenter à ma famille ici.
Plaisir de nous ballader main dans la main, en sautant par dessus les barrières et balançant nos bras au rythme de nos pas comme de vrais mômes.
De bouffer une pizza à deux dans un bar (nous n’avions jamais vraiment partagé de repas ensemble...).
De le laisser me préparer le cafe le matin, puis le déjeuner, qu’il m’apporte au lit. Savourer l’interdiction, qu’il prononce d’un ton intransigeant, de bouger de ce même lit pour l’aider ou faire la vaisselle. Vaisselle qu’il fera le lendemain matin, me laissant dormir pendant ce temps. (D’ailleurs, entre nous, ce mec est un pur cordon bleu ! Outre le plaisir visuel –il cuisine à moitié à poil- il a vraiment un don. Il m’a cuisiné une viande en sauce ce week-end... je suis désolée de te le dire Maman, mais tu as de la concurrence !)
Plaisir aussi de se raconter. Nos souvenirs, ce que l’on aime. J’ai donc découvert que l’on aime tous les deux la pluie et les orages. Les mêmes films bien souvent (humour britannique par exemple). J’ai pu voir de vieilles photos de lui, quand il avait 18 ans. Ses vieux papiers d’identité. L’écouter me raconter comment c’était à l’époque communiste. Sa mère, sa famille. (Découvrir que finalement il n’est pas si vieux que ca...et que –ô joie !- il est en terme d’âge plus proche de moi que de mon géniteur. Certes, de pas beaucoup... mais quand même !)
Nous avons aussi pu enfin apprécier le silence ensemble. Rester blottie dans ses bras, ne pas dire un mot, écouter les bruits de son corps. Ne pas avoir envie de briser cette harmonie. Avant, le temps etait tellement restreint, qu’il y avait en permanence cette peur de ne pas pouvoir faire ou dire tout ce que l’on veux, et qui faisait que chaque minute etait utilisée de la manière la plus rentable possible, se devait d’être comblée de mots, de gestes... Sachant qu’à la base, ce mec est une vraie pipelette, je vous laisse imaginer...
Et puis bien sûr, on a enfin la possibilité d’apprécier nos défauts, nos sales caractères. Ben oui, apprécier. Car je suis convaincue que l’on aime quelqu’un pour ses qualités. Mais que l’on s’y attache pour ses défauts. Et donc j’ai pu apprécier son manque de diplomatie et de tact avec les filles (Moi : « oui, nan mais je sais que je serais jamais mince. Je suis grosse, faut que je m’y fasse » Lui : « Exactement !»). Son sens inneé du romantisme (« t’as envie de baiser ? »). Et plein d’autres choses encore... Lui a pu se rendre compte grandeur nature de ma maniaquerie ménagère, de ma jalousie, de ma chiantitude en général...

Et pour finir, une chose qui m’a vraiment réchauffé le coeur, c’est de me rendre compte que mine de rien, une certaine complicité s’était tissée entre nous. Des silences éloquents, des private jokes, des taquineries. Des discussions à bâtons rompus sur des sujets très personnels.
J’admire ça « de l’extérieur », tant j’ai l’impression que ça s’est construit tout seul, comme une évidence. 6 mois ont passé, et je ne les ai pas vu passer, et je ne pensais pas qu’il y avait un « on », un « nous », et que ce nous serait « ça ». C’est rien du tout, juste un ptit truc, des petites piques, des détails au détour d’un mot que l’on sait qu’il ne prononçait jamais avant. Et qu’il dit maintenant naturellement.

C’est chelou tout ça les gens, moi je vous le dis !

20 juin 2007

[version française]

Ceci est une chanson que je viens tout juste de découvrir. Evidemment, seuls les Polonais pourront comprendre les paroles, peut-être même l’ont-ils déjà entendue. Mais ce n’est pas le propos principal.
En fait, je suis complètement amoureuse, et je voudrais le crier sur les toits, le dire à tout le monde...
Le genre d’amour horriblement fort, d’autant plus horrible et plus fort que je sais qu’il n’a pas d’avenir. Impossible. Il le sait et ca lui fait peur. Je le sais, et moi aussi je flippe ma race.
Mais bordel, qu’est-ce que nous pouvons y faire ?
Il a déjà essayé de me larguer, et pour quel résultat ?
Celui de me faire souffrir, et de souffrir lui aussi de m’infliger ça, car ce n’était pas le but. Il a fait ce qu’il pensait être le mieux pour nous deux. Mais seulement, il n’avait pas réalisé que ce serait aussi dur. Que je n’accepterai pas ce fait sans explication. Que je continuerai à l’aimer malgre tout. Et que lui aussi, malgré cette distance artificiellement instaurée entre nous, continuerait de m’aimer.
Et donc au final... après 2-3 mois de séparation, nous sommes de nouveau ensemble. L’amour a triomphé !Et de quelle manière... Tout est mieux, puissance 10.
Et pourtant...putain c’est pas juste ! Moi je dois rentrer en France, finir mes études. Et lui part bientôt en Irlande, chercher du travail mieux payé, économiser pour plus tard commencer une nouvelle vie en Pologne.
Il nous reste un mois. Seulement un putain de petit mois. Pour profiter, s’aimer, être heureux même, même si ce n’est que pour un instant.
Comme il me l’a dit une fois, on s’est rencontrés au bon endroit, mais au mauvais moment. C’est la vie. Pas de bol. Mais à quoi bon se battre ?
Je peux vivre sans lui. Mais je ne le veux pas. Et pourtant je dois.
Alors, qu’est-ce que je peux lui répondre quand il me dit que si je n’avais pas à finir mes études, il serait rentré en France avec -et pour- moi, pour que l’on vive ensemble ?
Bien sur qu’il a raison quand il me dit qu’il n’a pas le droit de me demander de l’attendre et de lui être fidèle pendant 2 ans. De toute facon je ne pourrais pas promettre ca. Il est beaucoup plus vieux que moi, et comme il dit, lui peut me promettre ce genre de choses. Pas moi. Ce serait mentir, meme si ça ne signifie pas que je ne le veux pas, juste que je ne sais pas de quoi demain sera fait...
Alors voila, je me sens bizarre avec toute cette histoire. Je ne regrette pas, absolument pas une seconde. Mais je n’arrive pas totalement à me resigner. Je reste une indécrottable midinette pour qui l’amour triomphera toujours... Bref, toujours est-il que cette chanson illustre bien mon état d’esprit.

19 juin 2007

Zaopiekuj się mną

Oto piosenka, że dopiero odkryłam. Oczywiście, tylko Polaków będą mogli to zrozumieć, nawet chyba już słuchali tą piosenkę. Ale to nie o to chodzi.
Akurat, chodzi o to, że, jestem mocno zakochana z kimś, i chciałabym to krzyczeć i powiedzieć każdemu…
Jakąś strasznie siła miłość, co raz straszniej i silnej, bo wiem, że, nie może trwać. Niemożliwe. On to wie i się boi o tym. Ja to wiem, i też się okropnie boję. Ale co mamy kurwa zrobić ?!! On już spróbował mnie opuścić, i po co ? Z tego powodu cierpiałam, i on też bo nie chciał mnie krzywdzić. Zrobił, co myślał, że, jest najlepsze dla nas oboje. Tylko nie zrealizował że, będzie tak trudne. Że nie będę akceptowała bez tłumaczenia. Że nadal będę go kochała. Że nadal będzie mnie kochał.
A w końcu… po kilka miesiące ja bez niego i on beze mnie, z nowu razem jesteśmy. Miłość potrafiła. Coś niesamowitego. Nigdy nie miałam coś takiego. A jednak… to kurwa nie sprawiedliwe ! Ja mam wracać do Francji, skończyć studiów. On jedzie na razie do Irlandii, szukać pracy, zarabiać pieniądze, oszczędzać żeby potem zaczynać nowe życie w Polsce.
Zostaje nas miesiąc. Tylko jeden popieprzony krótki miesiąc… żeby skorzystać, kochać się, być szczęśliwi chyba, choć tylko na chwilkę.
Jak on raz powiedział, spotkaliśmy się w dobrym miejscu ale w złym momencie. Samo życie. To lipa, zupełnie, ale po co walczyć ?
Mogę żyć bez niego. Ale nie chcę. A jednak muszę.
Więc co mam powiedzieć kiedy mnie tłumaczy, że gdyby nie miałam skończyć studiów, on wracałby ze mną żeby razem żyć ?
Oczywiście, że ma rację, że nie ma prawa mnie prosić o czekaniu na niego. W każdym razie nie chce. On jest o wielu starej ode mnie, może to mnie obiecać, ja nie. To byłoby kłamstw, choć to nie znaczy, że nie chcę, tylko nie wiem co jutro będzie…
Chujowo się czuję, proszę mnie uwierzyć na słowo. Dlatego wybrałam tą piosenkę :


"Możesz o nią walczyć, ona tylko patrzy
Słowo "zrzuć", ona zrzuci płaszczyk
Nie wiesz, jaka jest ta lady w czerni
W sypialni czerwień, czy wymiętej bieli
Szara myszka, wciąż mieszana z błotem,
Albo obwieszona złotem, królowa dyskotek
Na kolanach polubi, czy wierzy, czy szuka
Księcia z bajki, czy woli rycerzy?
Może chce byś powiedział "Kocham Cię",
Może drwi, gdy przychodzisz do niej z kwiatkiem.
Twoje imię czasem myli z kolegą,
Jednego żegna i idzie do drugiego,
To trudna sztuka obcować z taką sztuką.
Dobrze wiesz, że z nią nie będzie krucho.
Jakąś smutną chcesz ją mieć,
Ale nie wiesz, czy ona będzie chcieć.

Zaopiekuj się mną, nawet, gdy nie będę chciał
Zaopiekuj się mną, mocno tak, mocno tak
Zaopiekuj się mną, nawet, gdy powodów brak
Zaopiekuj się mną, mocno tak

Słuchaj, nie udało mi się zasnąć
poranny program grają, za oknem jasno
Noc bezsenna, nie przyniosła rozkoszy
Chcę zamknąć oczy, widząc jej oczy
Pozwól zgadnąć jaka jest naprawdę
nie mogę rozgryźć, myśli i pragnień
Ciche dni, nad szklanką pijane
słodka czy dzika, w końcu się określ
Wiele dałbym by zapomnieć Cię
Resztka whisky na dnie, efektem wspomnień
W ramionach innych kobiet oparcia szuka
Nie potrafię kłamać, nie udana próba
śmieszny teatrzyk, obraz rozpaczy
procenty odwagi, nie dadzą mi szansy
by podejść i spojrzeć, szepnąć do ucha
Zaopiekuj się mną - posłuchaj.

Zaopiekuj się mną, nawet, gdy nie będę chciał
Zaopiekuj się mną, mocno tak, mocno tak
Zaopiekuj się mną, nawet, gdy powodów brak
Zaopiekuj się mną, mocno tak

Dałbym Ci powód, ale też mi daj
nie wiem, na czym stoję,
komórki nie odbierasz
Nie chcę siedzieć sam,
dlatego znów skończę źle,
a Ty znów to obrócisz przeciw mnie,
Zły siedzę w domu, pewnie z kimś się bawisz
dlaczego Ty znowu nie rozumiesz,
z flaszką, sam na sam, zostawiłaś mnie
może się postarasz? nie chcesz? wiem.

Zaopiekuj się mną, nawet, gdy nie będę chciał
Zaopiekuj się mną, mocno tak, mocno tak
Zaopiekuj się mną, nawet, gdy powodów brak
Zaopiekuj się mną, mocno tak"

15 juin 2007

Alea jacta est

Bon ben ça y est, la fameuse lettre de motivation et le CV pour ma candidature au master que j'ai choisi sont envoyés... ya plu qu'a attendre les résultats hein !

11 juin 2007

L'instant miam-miam-crousti-fondant


Parce que j'ai la flemme internationale, que je suis une grosse mateuse et que ca fait du bien au moral, voici de belles images...















Suis-je la seule a trouver Clive Owen completement AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Mamaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan Mon Dieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu il est trop bôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôô ????!!!!!










08 juin 2007

En-chainée...

Aller, comme je t'aime bien 22, je reponds positivement a ton appel...

Quatre emplois dans ma vie:
- assistante commerciale dans une agence bancaire
- employée au service des affaires internationales d’une banque
- homme à tout faire (où j’ai découvert ma vocation pour la pose de dalles moquette...)
- stagiaire département marketing
(chuis désolée la liste est pas longue mais je n’ai QUE 21 printemps hein)



Quatre films que je regarderai encore et encore
- Forrest Gump (mais seulement avec mes frères, histoire de chialer ensemble comme des larves)
- La Boum (désolée...)
- Je vais bien, ne t’en fais pas
- Vas, vis et deviens



Quatre endroits où j'ai vécu
- Joué-lès-tours (Indre-et-loire)
- Ballan-Miré (Indre-et-loire)
- Dijon
- Wrocław (Pologne, Basse-Silesie)
... et Paris les 2 prochaines années au moins...


Quatre émissions/séries TV que je regarde (de temps en temps...)
- Newport Beach (the O.C)
- Urgences
- Cold Case
- FBI portés disparus
... et j’aime bien aussi Desperate Housewives, Grey’s anatomy, Scrubs...


Quatre lieux où je suis allée en vacances
- Egypte
- Amsterdam
- Irlande
- Croatie
... et quelques autres...

Quatre choses que je fais sur le net
- je chatte, sur MSN principalement
- j’envoie des mails
- je (dé)blogue
- je fais des recherches
... et des fois, quand je me fais chier, j’épluche les liens de tous les blogs que je connais, avec belles deécouvertes à la clé parfois...


Quatre mets que je ne mangerais pour rien au monde
- Céleri remoulade
- Foie
- Endives
- cervelle, coeur... enfin abats en général



Mes quatres plats favoris
- langue de boeuf de ma Mamie
- la soupe froide chèvre-basilic de ma Moman
- beignets de courgettes de mon autre Mamie
- Tartiflette de ma Tata
... en fait yen a plein d’autres, mais ceux-là sont mes « madeleine de Proust », avec plein de souvenirs dedans...


Quatre endroits où j'aimerais être en ce moment
- Dans les bras de mes amis, mes frères, ma famille ; bref ceux que j’aime
- Dans ses bras à lui
- Dans mon lit (seule ou pas)
- sur un matelas pneumatique dans ma piscine
... ou bien à la terrasse d’un café ici, au soleil, à siroter une biere... tout mais pas dans ce putain de bureau de merde ou je me fais chier tout en mourrant de chaleur !

Quatre personnes qui selon moi me répondront
...euh... je demande un joker... ou l’avis du public...



Quatre personnes qui me feraient une agréable surprise en répondant
- Petre
- Olusha
- Mon frère
- toi, si tu veux


Je sais, tout ca est d'un exotisme palpitant, n'est-ce pas ??

04 juin 2007

Cindy69_kikoo, critique ciné

Kikoo les gens,

Donc voila samedi soir ya Kevin qui m’a dit de regarder un film LOL, ça avé un titre chelou mais g kan même essayé. Jcrois ksa sapelé « France-Ukraine » un truc com ça LOL.
En fait ct pas mal.

L’histoire se passe toujours au même endroit, ya plein de personnages, et la moitie est abillé en bleu et l’autre en jaune com des poussins LOL. Et ya un ballon aussi et les mecs ils courent après. Des fois y se maravent un coup, et ya un mec avec un sifflet qui s’approche et toi tu penses qu’il va leur décocher une droite mais en fait il sort un ptit carton jaune LOL j’ai pas trop compris la blague.

A un moment yavé trop de suspensse ya des médecins qui sont venus, mais le héros il est pas mort com par magie il c relevé et a continue de courir.

Des fois les mecs il mettaient le ballon dans une sorte de cage et alors après ils couraient partout et ils sautaient et ils se faisait des calins ROFL la bande de taffioles ct la cage au folles LOL.

Meme au nivo des efets specials ils déchire tout ce film, genre ya un perso il s’apele Ribéry jcrois eh ben ils lui ont fait un mask a la Frankenstein et sérieux il fé tro peur lol.

C’est sympa en plusse ya plein de gens qui chante l’ambiance c’est la teuf. Ya même des lumières et tout et des drapeaux avec des couleur. Donc du cou on s’ennui jamais.

Par contre j’ai pas trop compris la fin, yavé ecrit « France 2- Ukraine 0 ». Si qqun pouvait mespliker LOL ca seré trop cool.
En gro, je recomande ce film.